Médiathèque
Helena Cueto
Patricia Guerrero
Des idées de lecture



Leonor Leal
Née à Jerez de la Frontera, Leonor Leal commence sa formation à l’âge de 9 ans.
Diplômée en Danse classique et espagnol au Conservatoire profesionnel de Danse de Séville. Elle se perfectionne avec des professeurs tels Manolo Marín, Pilar Ortega, Carmen Montiel, Pepa Coral ou la famille Galván.
Dans sa ville natale, elle a également étudié avec Juan Parra, Angelita Gómez, La Chiqui, Mercedes Ruiz, Andrés Peña, Ana María López, María del Mar Moreno et Manuela Carpio.
Ivan Vargas
Ivan Vargas, né au « Sacromonte » dans le mythique quartier gitan de Grenade, le Flamenco a toujours été une histoire de famille pour lui. Il a fait ses premiers pas au sein de la famille Maya qui a vu naître de grands artistes tels que les danseurs Manolete, Juan Andrés Maya et Mario Maya qui furent accompagnés du prestigieux guitariste Juan Maya « Marote ».
Encarna Anillo
Le nom de Encarna Anillo brille dans la galaxie peuplée du monde flamenco.
Elle est jeune, avenante souriante, humble et heureuse, c’est aussi une travailleuse acharnée.
Elle jouit d’une large expérience forgée par les efforts menés par une passion qui la dévore : LE FLAMENCO.
Malgré son jeune âge, elle a travaillé avec des artistes tels que Farruquito, Israel Galvan, Antonio Canales, pour ne citer qu’eux.
Carmen Amaya
Fille du tocaor (guitariste) El Chino, Carmen Amaya (1913-1963) a incarné l’anti-académisme et s’est démarquée par sa danse énergique et ses gestes vifs. Son style pouvait sembler anarchique et intuitif, mais cette apparence spontanée occultait l’extrême rigueur et la grande précision rythmique et chorégraphique dont elle faisait preuve : personne n’a égalé depuis la vitesse de ses demi-voltes.
Antonio Montoya
Patriarche d’une longue saga familiale, Antonio Montoya FLORES (FARRUCO) représente un cas à part, par son esprit rebelle et indépendant et sa revendication rageuse du caractère gitan de son art. Petit neveu du guitariste Ramón Montoya, il appartient à une famille de gitans vanniers qui parcourait les chemins dans sa roulotte et s’abritait sous les ponts pour la nuit. Son nom d’artiste lui vient de sa mère, bonne danseuse qu’on appelait la Farruca.